dans la douleur j'écris, j'efface, je garde peu
je voudrais envoyer par mail, je ne fais pas
laisser tranquille, ne pas prendre la tête
voici un de mes poêmes
Il est à se demander pourquoi le sort s'acharne
A vouloir tant détruire un être, coups de canne
De massue, répétitifs, visant pleine destruction
Au tout début d'une si magnifique reconstruction
S'apppliquant à donner le sublime tant inattendu
De le faire découvrir, déguster, divine absolue
Pour ensuite vouloir l'assombrir, tuer ce bonheur
Par moultes facéties le casser, instart d'horreur
Vouloir sans légitimité le plonger en grand abime
Le grand fléau de l'au-delà semble-t-il s'escrime
A décimer, meurtrir deux êtres d'amour harmonieux
Nantis de si grande symbiose, ensemble si heureux
Les grands criminels monstres de toutes catégories
Sont pourtant épargnés du cahos par ce céleste tri
Je me demande ce que j'ai pu faire pour mériter là
De la part de ces décideurs spirituels à profil bas
Pourquoi s'attaquer à nous, qui ne demandions rien
Que de pouvoir nous aimer, nous chérir, vivre bien
Parfaire notre union aussi paradisiaque qu'inouïe
dans sa découverte, à assimiler presque au paradis
Contre vous, là-haut pour nous sauver je me battrai
Si ce n'est plus ici, là-haut je vous rencontrerai
Infinis prospecteurs avides de meurtrissure imposée
Je vous promets le pire, si nous deux vous détruisez
Dieux, diables, saints, et autres tordus et assimilés
Avec la plus féroce Armure de haine je serai habillé
De n'importe quelle façon je viendrai vous détruire
Et vous empêcher pour l'éternité de toujours nuire
je voudrais envoyer par mail, je ne fais pas
laisser tranquille, ne pas prendre la tête
voici un de mes poêmes
Il est à se demander pourquoi le sort s'acharne
A vouloir tant détruire un être, coups de canne
De massue, répétitifs, visant pleine destruction
Au tout début d'une si magnifique reconstruction
S'apppliquant à donner le sublime tant inattendu
De le faire découvrir, déguster, divine absolue
Pour ensuite vouloir l'assombrir, tuer ce bonheur
Par moultes facéties le casser, instart d'horreur
Vouloir sans légitimité le plonger en grand abime
Le grand fléau de l'au-delà semble-t-il s'escrime
A décimer, meurtrir deux êtres d'amour harmonieux
Nantis de si grande symbiose, ensemble si heureux
Les grands criminels monstres de toutes catégories
Sont pourtant épargnés du cahos par ce céleste tri
Je me demande ce que j'ai pu faire pour mériter là
De la part de ces décideurs spirituels à profil bas
Pourquoi s'attaquer à nous, qui ne demandions rien
Que de pouvoir nous aimer, nous chérir, vivre bien
Parfaire notre union aussi paradisiaque qu'inouïe
dans sa découverte, à assimiler presque au paradis
Contre vous, là-haut pour nous sauver je me battrai
Si ce n'est plus ici, là-haut je vous rencontrerai
Infinis prospecteurs avides de meurtrissure imposée
Je vous promets le pire, si nous deux vous détruisez
Dieux, diables, saints, et autres tordus et assimilés
Avec la plus féroce Armure de haine je serai habillé
De n'importe quelle façon je viendrai vous détruire
Et vous empêcher pour l'éternité de toujours nuire